© Titwane/ Pellicer/Albin Michel
Cette exposition - réalisée avec la Galerie Huberty & Breyne - présente 80 œuvres. Le vertige New Yorkais, des stars de jazz, des parapluies, les toits parisiens et aussi des chats, beaucoup de chats ! Christophe Chabouté nous interroge également sur notre rapport à l’art en nous invitant à une déambulation au Musée.
© Chabouté
Riff Reb’s produit son premier son en Algérie, passe sa jeunesse au Havre et intègre plus tard l’École des Arts Décoratifs, à Paris. Un soir de beuverie, Cromwell, Qwak et lui décident de créer l’Atelier Asylüm, lieu de créativité d’auteurs aujourd’hui reconnus. Leur premier projet : Les Mondes Engloutis, une série animée, parallèlement adaptée en bande dessinée. Le 9e Art est conquis : Le Bal de la Sueur, Aaargl !, La Crève, Myrtil Fauvette, Le Kid et Bergson…
© Riff Reb's / Oxymore
Les Pays-Bas sont un grand pays de la bande dessinée. L’objectif est de faire découvrir la BD néerlandaise à un lectorat français peu initié. En parallèle de l’exposition de Joost Swarte, les visiteurs pourront découvrir la création BD typiquement néerlandaise avec cette présentation complémentaire d’auteurs et d’autrices.
© De Jongh/ Dupuis
© Dargaud
Il étudie l'illustration à l'école Pivaut à Nantes. Il se lance dans l'illustration jeunesse et publie son premier ouvrage Ici reposent tous les oiseaux avec les Éditions Margot en 2013, bien d'autres suivront. Il travaille actuellement avec d'autres maisons d'éditions telles que Albin Michel et Flammarion, sur des albums et une série jeunesse. Ses matériaux de prédilection, sont la gouache, l'aquarelle et les crayons de couleur, avec lesquels il réalise des illustrations entre humour et poésie. En 2021, il crée avec Ugo Hevin le groupe Jean Feutre, un projet mêlant musique électronique et illustrations improvisées.
Vernissage le mercredi 27 mars à 18h30 en présence de l’artiste.
© Etienne Friess / Albin Michel
Joost Swarte naît en 1947, à la veille de Noël. Après une solide formation académique à l’école d’esthétique industrielle d’Eindhoven, il se tourne vers la bande dessinée. Influencé à ses débuts par le comix alternatif venu tout droit des États-Unis, il crée en 1971 sa propre revue, Modern Papier. Deux ans plus tard, il fait la connaissance de son compatriote Willem, qui s’empresse de montrer ses travaux à Georges Wolinski, alors rédacteur en chef de Charlie Mensuel. S’ensuivent toute une série de récits complets, un brin déjantés, repris sous le générique L’Art Moderne.